Un autre canal d’activité dans lequel elle s’investit massivement est l’effort de combler le fossé entre laïc et ultra-orthodoxe. «La division du peuple nous menace plus que les guerres avec les Arabes», dit-elle. « Nous devons développer un langage commun, et sans dialogue, nous ne pourrons pas le faire. » Elle essaie de faire progresser cet objectif à travers des rencontres entre des étudiants du collège ultra-orthodoxe et des étudiants d’autres institutions, ainsi que par son adhésion au programme des « droits de l’homme » au sein de l’Institut pour la démocratie.