Ceci est la prémisse profondément pessimiste qui imprègne ce Livre de l’Ecclésiaste. L’ouvrage mais c’est plutôt l’auteur se débat avec le sens de la vie à la lumière de la mort. Il répète encore et encore le sempiternel refrain «Vanité des vanités, tout est vanité», en gravant nos efforts pour donner un sens à nos vies, en construisant des monuments qui nous survivront.