« Prends donc ton fils, ton unique, celui que tu aimes, Isaac, va-t-en au pays de Moriah et là, offre-le en sacrifice sur l’une des montagnes que je te dirai. » »
A ces mots, nous sommes saisis d’effroi. Quel ordre cruel. D’une cruauté palpable dans l’épanchement des mots : ton fils, l’unique, que tu aimes, Isaac… Comme si tout cela était une nouveauté pour Abraham, comme s’il avait oublié les tourments qui avaient accompagné la mise au monde d’Isaac. Mais ces mots qui viennent du Très-Haut ne sont rien d’autre que des outils aiguisés destinés à amplifier la douleur.
previous post