houg de tanach d’Har Homa
Dieu confie maintenant à Saül l’accomplissement de Deut. 25: 19. Ici tout IsraëI l’accompagne sans crainte. Ce n’étaient plus ses ennemis du dedans, qui rongeaient habituellement ses forces et abattaient son courage : la victoire est complète. Il ne s’agit que de la fidélité à Dieu, et de préférer la gloire de Dieu à ses propres intérêts. Mais Saül craint le peuple. L’Esprit de Dieu dit : « Saül et le peuple » ; Saül dit : « le peuple » et que c’est pour Dieu qu’on a épargné. Mais nos excuses ne sont que notre condamnation, lors même qu’elles seraient vraies. Saül, n’ayant pas la foi, ne regardant pas à Dieu, craint le peuple plus que Dieu. Quel esclave que l’incrédule ! S’il n’est pas esclave des ennemis, il l’est du peuple qu’il semble gouverner. Saül, infidèle à Dieu au milieu du peuple et en présence des bénédictions que l’Éternel lui accorde, est enfin privé du royaume.