La Torah a prévu que l’enfant doive interroger. Il ne faut pas s’étonner si la génération qui n’a pas eu l’expérience des événements dont il est parlé doive normalement se demander : « Que se passe-t’il ? »
Et c’est même un devoir que la Torah prescrit pour le père d’avoir à répondre.
Au niveau de la pédagogie, très souvent la génération des pères a tendance à considérer comme négative et insolente et indécente cette attitude : comment se fait-il que l’enfant de la famille mette en question l’identité de la famille ? On perçoit cela comme l’attitude du Rashâ, du révolté, alors que le Rav et le verset l’indique nous montre que la Torah l’a prévu et que cela est normal et positif.