Dans un monde où les valeurs sont inversées, la vérité est devenue une forme de rébellion. Des enfants meurent, une population est affamée et des villes sont détruites. Pourtant, les caméras du monde entier ne se focalisent pas sur les responsables, mais sur ceux qui se défendent. C’est une image forte, mais elle suscite une réaction immédiate. Qui est responsable ? Est-ce ceux qui transforment leur peuple en chair à canon ? Ceux qui lancent des guerres depuis des écoles et des hôpitaux ? Ou bien, finalement, ceux qui disent : « Assez ! » ? Quand l’indignation vient trahir la justice…
Un certain Occident, ivre de sa propre culpabilité, incapable de distinguer le bien du mal, a servi avec enthousiasme la propagande du Hamas et de l’islamisme radical. Il verse des larmes pour Gaza, mais se tait au sujet des otages israéliens, ignorant les atrocités du 7 octobre, méprisant un Israël assiégé, mais toujours droit. Entouré de 21 pays arabes qui souhaitent toujours sa disparition, Israël ne peut pas se permettre de faiblir. Chaque recul entraîne des pertes en vies humaines. Chaque revers est une atteinte à sa souveraineté. Pourtant, le monde attend de lui qu’il se taise et qu’il disparaisse. Israël est un miroir désagréable pour un Occident en déclin. Pourquoi une telle haine ? Parce qu’Israël dérange. Il évoque ce qu’était autrefois l’Occident : un monde de frontières, de culture, de transmission et de foi. Alors que de grandes nations ont abandonné leur héritage, Israël le revendique. Alors que l’Europe doute de son passé, Israël l’assume. Et tandis que l’Amérique s’excuse d’exister, Israël se prépare à sa survie. C’est pourquoi Israël est aujourd’hui le fer de lance d’un Occident qui s’effondre. Un bastion de civilisation, de liberté et de lucidité dans un monde où le terrorisme est présenté comme une lutte anticoloniale et où l’antisémitisme se déguise en antisionisme.
La bien pensance de gauche radicale a reussi a rameuter une certaine « juiverie europeenne » pour mieux accuser et condamner Israël. Dans ce monde retourné, le terroriste est une victime, tandis que l’enfant juif assassiné est un dommage collatéral. Le Hamas tire depuis les écoles ? Ses armes sont cachées dans les hôpitaux, pourtant… on accuse Israël d’interdire à sa population de fuir les zones de combat. On se repait de cette nouvelle tete de turc, de ce juif tumeur maligne, on accuse et condamne sans appel Israël, ce nouveau juif des nations. Ce n’est pas seulement de la désinformation, mais une forme de conflit cognitif, utilisant des techniques telles que le mensonge, le relativisme et la couardise. C’est une guerre où l’émotion remplace la vérité., où l’on confond la pitié avec la justice, et la haine avec la solidarité. Israël n’a pas le choix de montrer de la clémence envers ceux qui jurent de le détruire. Ce n’est pas une posture, c’est une réalité. Et si l’élimination physique de ces forces meurtrières est nécessaire, elle aura lieu, quoi qu’il en coûte. Non par cruauté, mais par devoir. Le nouveau juif, qui répond au nom d’Hébreu, réplique, frappe, élimine, éradique toute l’engeance vaurienne de cet islamisme nazi, source de métastases en occident.
Comme l’a dit Menahem Begin, survivant des pogroms et architecte de l’indépendance : « Ceux qui lèvent la main contre nous doivent savoir qu’ils le paieront. Nous ne serons plus jamais un peuple impuissant. »
Israël, un peuple déterminé, ne cherche pas la guerre, il aspire à la paix. Mais on n’implore pas la vie, on la protège. Quand on en arrive là, on doit recourir aux armes, à la vérité et à la fermeté. On n’aime pas la guerre, mais on refuse de demander la paix face à une idéologie qui glorifie la mort, vivre devient une forme de résistance. Éradiquer le Hamas, c’est non seulement éliminer une organisation, mais aussi libérer une terre, une population, et leur futur. C’est mettre fin à un régime criminel qui préfère voir son peuple mourir plutôt que de renoncer à sa haine. C’est rappeler que les civils sont d’abord les victimes du terrorisme, avant d’être les otages des bombes. L’essentiel, c’est qu’Israël vive. Ce pays n’a pas été créé pour satisfaire les chancelleries, mais pour permettre à un peuple humilié, persécuté, dispersé, de pouvoir enfin marcher la tête haute. Israël vivra. Il ne sait pas plier, il ne veut pas mourir. Il a appris, dans la douleur et le feu, qu’aucune vie n’est possible sans dignité. Assez des larmes ! Il faut maintenant regarder la réalité en face. En effet, des enfants meurent. Mais qui les sacrifie? Certes, une population est en souffrance, mais qui l’utilise comme monnaie d’échange ? Oui, Israël se défend, mais contre qui ? Contre ceux qui veulent le rayer de la carte. L’indignation sans fondement est de la complicité, l’émotion sans responsabilité est trahison, la neutralité entre la vie et la mort, entre la barbarie et la civilisation, représente un crime.
Israël se bat pour vivre et devenir, il vivra, peu importe le prix à payer., mais, il n’y aura aucune pitié pour tous les assassins de juifs !