Leur seule volonté, une fois libérés, fut de vouloir jouir de l’opulence de l’Egypte qu’ils avaient vue mais dont ils n’avaient jamais profité. Ils aspiraient à étancher une toute autre soif, une tout autre liberté et non point ce printemps de l’Histoire paternellement proposé par l’Eternel-Créateur. L’oscillation spontanée de l’essence de la vie fut indûment effacée, aussi lorsque les Hébreux quittèrent la terre concentrationnaire et assassine avec armes et bagages mais également chargés d’or et d’argent, ils s’écrièrent: « Assez! », car repus de cette manne terrestre.