Le jour où le sang juif se répand sur la terre d’Israël, il n’y a pas de place pour le silence ni pour la faiblesse. Chaque goutte est un signal d’alarme: l’ennemi n’est pas isolé, il est une armée de haine, une société entière qui sanctifie le meurtre et qui éduque ses enfants à nous haïr jusqu’à l’anéantissement.
Il ne s’agit pas d’individus isolés, ni d’accidents, mais d’une machine planifiée d’extermination. Celui qui lève un couteau ou une arme contre un Israélien n’est pas un « extrémiste isolé »: il est l’émissaire d’une culture de mort. Et face à une culture de mort, on ne répond pas par des gestes de conciliation, mais par la force, la détermination et la décision.
Et pourtant, à ce moment même, s’élèvent des voix défaitistes qui appellent à arrêter la guerre. Comprend-on à quel point une telle demande est scélérate? Alors que le sang de nos frères coule, alors que nos ennemis ne cessent de réclamer notre destruction, certains jean-foutres osent parler de « cessez-le-feu », comme s’il était possible de conclure une alliance avec la haine, comme s’il était pensable de négocier avec le meurtre. Jusqu’à quand refusera-t-on de voir qui est l’ennemi? Jusqu’à quand jouera-t-on avec des vies humaines à la manière de Chamberlain et de Daladier, croyant acheter la paix au prix du sang des autres?
Ma question s’adresse à vous, lecteurs: dites-moi, qu’est-ce que vous ne comprenez pas ici?
Ce défaitisme n’est pas de la compassion: c’est de l’aveuglement. Ce n’est pas de la morale: c’est une fuite devant la responsabilité. Tout appel à cesser la guerre est un appel à renoncer à nos vies, à abandonner nos enfants, à déposer les armes face à un ennemi assoiffé de sang. Un peuple qui cesse de se battre en pleine attaque meurtrière n’est pas un peuple épris de paix: c’est un peuple qui se suicide. Ce n’est pas de la naïveté, c’est une trahison, une trahison de la tradition de résistance, de l’histoire de la survie, de notre droit d’être ici.
Un État qui ne répond pas d’une main de fer au meurtre de ses citoyens se condamne lui-même à davantage de sang versé. Il n’y a pas de compromis avec celui qui veut notre perte. Il n’y a pas de « coexistence » avec une société qui glorifie les assassins et envoie ses enfants à l’abattoir.
Nous devons le dire d’une voix claire, ferme, qui ne laisse place à aucune ambiguïté : notre sang n’est pas à vendre ! Nos vies ne sont pas négociables! Toute tentative de nous frapper recevra une riposte à laquelle il n’y aura pas de réponse. Ce n’est qu’ainsi que nous assurerons notre avenir, que nous protégerons nos enfants, et que nous ferons comprendre au monde entier : le peuple d’Israël est vivant, et quiconque se lève contre lui périra.