Le masculin nauséabond, devenu maître, mari, patron, soldat et autre, guette ce moment propice où il pourra enfin assouvir ses pulsions bestiales et ensemencer la terre fertile de son venin toxique.
Plus je découvre les capacités génocidaires de l’homme, plus j’aime et admire cette gente féminine, douce, sensible, aimante, donnant la vie, femmes de raison et pleines de sens. Le monde a donc tout faux!
La femme est bien le projet abouti de l’homme brouillon, l’avenir de l’homme comme l’affirmait si bien Aragon, son devenir comme je l’affirme depuis belle lurette.