L’amour est une propension à estimer plus encore ce qui demeure à la base d’une conduite prolifique. Incontestablement les actions se hissent à partir du palier de la nécessité et elles sont le moyen d’exaucer nos besoins tout comme il est indispensable qu’elles retrouvent le bonheur. Mais la conduite suprême est conçue sur la genèse du don, on ne peut octroyer que ce que l’on possède, le cœur réclamerait d’être béant afin de pouvoir offrir.
L’amour peut concerner un être imparfait mais apte à devenir plus exemplaire avec le temps, point de cruauté chez lui pour blâmer les hommes devant une exigence morale qu’ils ne pourraient parvenir à satisfaire.
L’amour va au-delà des faiblesses et des vices et il peut accomplir ce miracle de dépasser l’égocentrisme. (Rony Akrich)
previous post